Climat des affaires : tant d’occasions manquées
Lorsque nous avons décidé, en 1987, de nouer des relations entre les sociétés membres de notre association l’Amie (ex-AMDCEI), c’est volontairement que nous avons mis l’accent sur la coopération mutuellement avantageuse et le partenariat.
À cette époque, les responsables diplomatiques français basés à Alger et l’ancien ministre du Commerce extérieur, Michel Noir, ont accueilli cette démarche avec mépris, évoquant son caractère tiers-mondiste. En effet, nous avions souligné que les échanges économiques avec l’Algérie devaient s’inscrire dans la durée et qu’il fallait enrichir son partenaire afin d’accroître les flux commerciaux, monétaires et d’investissements dans les deux sens.
Pour lire l'article complet paru le 9 mars 2009, cliquez ici
À cette époque, les responsables diplomatiques français basés à Alger et l’ancien ministre du Commerce extérieur, Michel Noir, ont accueilli cette démarche avec mépris, évoquant son caractère tiers-mondiste. En effet, nous avions souligné que les échanges économiques avec l’Algérie devaient s’inscrire dans la durée et qu’il fallait enrichir son partenaire afin d’accroître les flux commerciaux, monétaires et d’investissements dans les deux sens.
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